-
Armelle, à l'armée…
En 86-87, il y avait quelques femmes qui faisaient leur service militaire…
915 appelés dans mon régiment en cette année 1987, dont 5 filles, ça fait 900 bonshommes de dispo. Parmi les filles, il y a Armelle, brune, toute petite, genre 1m60, difficile de dire comment elle est foutue lorsque qu'elle est en treillis, ce que je sais, c'est que lorsque tu lui dis bonjour, elle deviens rouge pivoine…Nous sommes sur un grand week-end, celui du 15 août, c'est 5 jours avec la quasi totalité du régiment qui est en permission et je suis punis pour être arrivé en retard à ma dernière permission. Donc, je suis de garde à la trésorerie (c'est là que l'on garde la paye des soldats, les tickets de train gratuits, etc…) Nous sommes forcément 2 pour cette garde et là, surprise, c'est Armelle qui s'y colle, elle aussi punie, mais bon, normalement, pas un garçon et une fille en confinement, ce n'est pas logique. Il faut savoir que cette garde, que j'ai déjà faite, c'est une piaule avec 2 lits, un WC, une douche et 3 sorties dans la journée pour les repas à tour de rôle, et une télé… Basta et c'est tout !
Je crois que Armelle ne s'attendait pas à me voir là, la situation est très ambigüe, je téléphone au gradé responsable qui m'explique que de toute manière la situation est ainsi et qu'il n'y a pas d'autre solution… À bon entendeur !!! Mais voilà, il fait très très chaud, au bord du Rhin, il peut faire aussi froid l'hiver qu'il peut faire chaud l'été… C'est le second soir, Armelle est partie manger, je suis dans la piaule, la tv est allumée, il fait une chaleur d'enfer, Armelle revient de manger, nous pouvons ouvrir les fenêtres, mais il y a des barreaux, alors bonjour la prison. Armelle me dit qu'elle va se doucher histoire de se rafraîchir, elle est toujours en treillis, le règlement nous autorise à ne pas porter de chemisette en cas de temps chaud et la douche est microscopique, en bref, difficile de se déshabiller à l'intérieur et hop, elle envoie voler son uniforme par la porte et ouvre l'eau pour prendre sa douche, elle sort, une serviette sous ses bras et me demande de sortir de la piaule le temps qu'elle puisse se vêtir, je m’exécute sans discuter et je vais à mon tour sous la douche, bien fraîche, ça réveille bien, perso, je reviens en caleçon, Armelle est allongée sur son lit, petit caleçon blanc et toujours sa serviette qui couvre ses seins, chaud, il fait vraiment très chaud et franchement, cet endroit est étouffant malgré les 3 fenêtres ouvertes. Nous avons allumé la télé, encore un truc à la noix, mais bon, ça occupe. Au bout d'un moment, Armelle se retourne et elle fait glisser sa serviette, je crois qu'elle dort et elle m'a découvert ses petits seins et elle a glissé sa main dans son caleçon blanc, elle se caresse en gémissant, je l'observe, elle gigote, et son autre main commence triturer la pointe de ses seins, dort-elle vraiment ???? Elle gémit bruyamment, je décide de m'approcher d'elle et je m'assoie sur le bord de son lit, elle cesse de caresser ses seins et attrape ma main pour m'entraîner entre ses cuisses et me guide directement au fond de sa chatte, elle ouvre enfin les yeux et glisse son autre main dans mon caleçon pour en extirper ma queue qu'elle ne tarde pas à avaler pour me faire une énorme pipe et elle se déchaîne littéralement, elle arrache mon caleçon, retire le sien et me demande de la prendre sans ménagement, c'est assez facile, sa chatte baveuse n'attend que mes coups de bite, c'est énorme, elle se met à 4 pattes pour une jolie levrette, je la lime et lui caresse son petit trou déjà bien écarté, de ses 2 mains, elle s'écarte encore un peu plus et m'offre son cul et je ne vais pas me priver et je commence à lui défoncer le cul, elle adore ça, elle se branle en même temps, elle se doigte bien à fond, 4 doigts si je ne m'abuse, nous allons baiser jusqu'au bout de la nuit, il nous reste encore 3 jours à partager dans l'intimité, premier réflexe à chaque fois que nous nous retrouvons dans cette piaule, nous nous déshabillons mutuellement pour baiser comme des forçats… Quel pied !!!!!
-
-
Commentaires
Aucun commentaire pour le momentSuivre le flux RSS des commentaires de cet article
Vous devez être connecté pour commenter
-